Publics

Les actions s’adressent à tous et toutes, sans discriminations, avec une attention particulière pour les enfants, les jeunes et les familles en situation de vulnérabilité, pour favoriser leur intégration sociale.

Les modes d’action sont variables et définis par trois dimensions: l’âge, le contexte et l’intentionnalité derrière l’action.

Quelques exemples:

  • Un enfant de 10 ans en accueil libre dans un terrain d’aventures ou un jardin Robinson va découvrir la nature, participer au potager, courir, être stimulé dans sa créativité et surtout expérimenter la vie en groupe.
    Le cadre posé est bienveillant et au service d’un développement harmonieux de l’enfant. La participation aux dynamiques collectives est encouragée et la valorisation de son potentiel est constante.
  • Une adolescente de 15 ans dans un centre de loisirs sera confrontée positivement à ses pairs, dans un cadre sécurisant et attentif à ses envies, ses attentes et ses problématiques. C’est l’apprentissage de l’autonomie et le renforcement des compétences sociales qui sont mises en avant, à travers l’accueil libre, le jeu, des activités proposées, des sorties ou des débats.
    L’approche socio-éducative se mêle alors aux pratiques en animation et l’attention professionnelle est portée autant sur le collectif que sur l’individuel.
  • Un groupe de jeunes de 17 ans dans un parc ou disposant d’un local en gestion accompagnée sera en contact avec un ou une travailleuse sociale hors murs (TSHM).
    Le ou la professionnelle assurera une forme de permanence adulte, accompagnant le groupe dans la réalisation de leurs projets, et les soutiendra dans les problématiques qu’ils/elles rencontrent. L’appui est principalement préventif.
  • Un jeune adulte en décrochage dans son parcours de formation trouvera auprès des équipes hors murs ou de certains centres un appui et un soutien pour s’interroger sur son avenir et mieux le construire.
    À travers l’écoute et une mise en activité – par des petits jobs et des chantiers éducatifs – un travail sur l’estime de soi et une mise en valeur de ses compétences sont possibles, première étape nécessaire vers l’insertion socioprofessionnelle.
  • Un groupe de femmes migrantes découvrira l’appui des maisons de quartier pour apprendre le français, s’engager dans des activités ou rencontrer d’autres personnes.
    La visée est intégrative: elle se fait dans le respect des différences et l’affirmation de l’apport positif de la diversité culturelle, condition nécessaire d’un bien-vivre ensemble.
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